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Pour nous les hommes : Des pecs ou des nibards ? (HOT!)

Bon, on est entre nous les hommes (mais les femmes peuvent nous lire aussi !), et on va parler de choses sympas !
On va parler de nichons, de roploplos, de roberts, de nénés, de pare-chocs… on va parler de seins quoi !
Mais attention, pas n’importe lesquels : on va parler de NOS nibards.
Tout d’abord, on va différencier deux types de seins, ceux qui sont dûs à un excès de graisse sur la poitrine (adipomastie) et la gynécomastie.

Adipomastie ou gynécomastie ?

L’adipomastie est un amas de graisses situé au niveau du tissu mammaire. La façon où votre gras est stocké dépend principalement de votre génétique. En effet, certains vont stocker plus facilement sur la poitrine que d’autres, mais une chose est certaine si vous vous goinfrez et prenez du gras, il y a malgré tout de fortes chances qu’une partie de cette couenne contribuera à la naissance de vos seins. Cet excès de graisse sur la poitrine peut donner l’impression d’une poitrine de femme. Cet effet peut être accentué lors d’une perte de poids très importante. Mais l’adipomastie est souvent la résultante d’un surpoids occasionné par une mauvaise alimentation et une mauvaise hygiène de vie. Les personnes obèses sont particulièrement touchées par cette affection bégnine.
Pour remédier à cela, il y a deux solutions : la chirurgie ou la diète et le sport, et principalement la musculation.

La gynécomastie est le développement excessif des glandes mammaires chez l’homme. Elle peut être congénitale, due à une maladie, une tumeur ou à la prise de certains médicaments (stéroïdes). La gynécomastie chez l’homme est le résultat d’un excès d’œstrogènes. Elle se caractérise par l’augmentation du volume d’une ou des deux glandes mammaires, et donc le développement de la poitrine. A la base, un homme est voué à produire de la testostérone, l’hormone mâle par excellence. Mais il se peut qu’un excès de testostérone se convertisse en œstradiol. Cette conversion ne se fait pas le biais d’une enzyme, l’aromatase. Ce processus se nomme l’aromatisation. L’aromatase est l’enzyme responsable de la biosynthèse des œstrogènes, sa fonction est d’aromatiser les androgènes (hormones masculine) en œstrogènes.
Il existe des solutions pour prévenir de la gynécomastie. Les médicaments, certains compléments alimentaires ou en dernier recours, la chirurgie.

L’alimentation et les aliments à éviter

Dans le cas d’une gynécomastie, il n’y a pas grand-chose à faire niveau alimentation. D’ailleurs, c’est bizarre de dire cela, mais plus vous serez sec et plus la gynécomastie se verra. Ce constat est fait durant les compétitions de bodybuilding ou certaines « gyno » sont très visible. L’ablation chirurgicale de cette tumeur reste malgré tout la mesure la plus efficace.
Par contre, pour ce qu’il est de l’adipomastie, vu qu’il s’agit de gras, il n’y a pas de secrets miracles, ce sera diète et sport.
Concernant la perte de la masse grasse, ce n’est pas compliqué en soi, il suffit que la dépense énergétique soit supérieure à l’apport calorique.
Comme on a écrit déjà pas mal d’article sur les régimes on ne va pas en écrire un énième… Voici donc 5 régimes « dégrossis » par nos soins pour perdre du poids, si tu cliques sur le lien… Alors clique sur ce lien… bon un instant je recherche l’article dans le blog TNT Sport…. C’est bon j’ai trouvé ! Le voilà : Le fameux lien avec les régimes ! 

A éviter….

La malbouffe bien entendu ! Très répandue dans les pays développés, elle est une des responsables de maladies comme l’obésité, l’hypertension artérielle, les maladies cardiovasculaires, le cholestérol, le diabète. Burgers, frites, sodas, biscuits, chips etc… se résument en un max de sucres, un max de gras, des calories vides, des additifs en pagaille, une faible valeur nutritive. Il est évident qu’abuser de cette daube va vous rendre gras et contribuer à développer votre poitrine.

Il y a aussi l’alcool qui peut avoir une mauvaise influence sur votre production hormonale, alors même si il ne s’agit que de quelques pourcentages de testostérone en moins, à partir d’un certain âge, ces légères baisses de production se feront beaucoup plus significatives et pourraient, pourquoi pas, transformer progressivement vos pectoraux en nibards.

Pousse de la fonte !

La diète c’est indispensable mais pour augmenter cet effet apport/dépense, il est important de pratiquer une activité physique régulière.
Ainsi, un entrainement en musculation lourd et intense avec des mouvements de base (et non du bricolage !) reste à privilégier car il reste le meilleur moyen de conserver la masse musculaire tout en dépensant un maximum de calories.
Concernant le cardio, selon une étude effectuée par des scientifiques du sport à l’Université de Tsukuba, il sera plus efficace après la séance de musculation.

Pourquoi et comment développer les pectoraux ?

Les pecs sont le symbole même de la musculation. Comment troquer une paire de nibards contre des pectoraux ? En les entrainant tout simplement !
Si vous avez une tendance à avoir des seins, il est temps de pousser de la fonte et voilà donc un programme simple pour les développer à intégrer dans votre routine :

Training Pectoraux

Développé Couché Barre 2 x 3-5 *
Développé Couché Barre 3 x 8-10 **
Développé Incliné Haltères 5 x 8-10 ***
Dips Lesté /Ecartés Poulie vis-à-vis 4 x 6-8 / 12-15**** (Série Combinée)

**** 30’’ récupération, *** 1’ à 1’30 récupération, ** 2’ récupération, * 3’ récupération

Une fois votre muscle bien échauffé, mettez la charge qui vous permettra de faire le nombre indiqué de répétitions, avec une technique et une maitrise du mouvement irréprochable. Si la série suivante, vous ne pensez pas faire le nombre de répétitions, alors enlevez du poids. Evitez les séries négatives ou forcées. Demandez conseils aux éducateurs présents pour la bonne exécution de vos exercices.

Cet article devrait transformer une vache laitière pleine de mamelles en un taureau blindé de testo.

Nicolas V. – Team TNT Sport

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