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Plus de testostérone naturellement avec l’Acide D-aspartique et le Trans-resveratrol

Dans le marché du complément alimentaire, certains ingrédients sont utilisés à des fins bien précises, comme stimulants hormonaux par exemple. Par exemple l’acide d-aspartique est utilisé pour son action sur le taux de testostérone. De nombreux boosters de testostérone utilisent ce principe combiné avec d’autres substances susceptibles d’élever le taux d’hormones mâles, tels le tribulus, le zinc etc. Le trans-resveratrol est utilisé principalement pour son action antioxydante et on le retrouve très souvent dans les complexes multivitamines et antioxydants.

Curieusement, il y a un intérêt à utiliser l’acide d-aspartique en le combinant avec le trans-resveratrol. La formule TNT Male contient ces deux principes actifs, voici l’explication.

Plus de testostérone avec l’acide D-aspartique

L’acide D-aspartique, un acide aminé non essentiel présent naturellement dans l’alimentation. On le trouve particulièrement dans l’hypophyse, dans l’hypothalamus et les testicules. L’acide D-aspartique ordonne à l’hypophyse de sécréter de l’hormone lutéinisante (LH) et de l’hormone folliculostimulante (FSH) en se liant avec des récepteurs spécifiques appelés NMDA qui vont favoriser la sécrétion de la gonadoréline (GnRH ).  Ces deux hormones (LH et FSH) présentes dans les testicules vont déclencher le processus qui aboutit à la sécrétion de testostérone.

L’acide D-aspartique également produit à l’intérieur des testicules va donc agir directement sur les cellules de Leydig permettant ainsi l’augmenter de la production de testostérone et de sperme.

Une étude en laboratoire sur des cellules de Leydig isolées a démontré que seules les cellules contenant de l’acide D-aspartique affichaient une augmentation de la production de testostérone. Des études ont révélé une hausse de testostérone allant même jusqu’à 30%.

Ainsi, les boosters hormonaux contenant de l’acide d-aspartique sont très appréciés par les bodybuilders, surtout si ils contribuent à plus testostérone, l’hormone anabolisante par excellence.

Cependant une hausse du taux de testostérone pourrait s’accompagner d’une hausse du taux d’œstrogènes, c’est le phénomène de l’aromatisation.

Moins d’œstrogènes avec le Trans-resveratrol

Le resveratrol est un phytonutriment très étudié notamment pour son action protectrice et antioxydante. On le trouve, entre autres, dans la peau et les pépins de raisin rouge.  Il est utilisé surtout en supplémentation pour se défendre contre les radicaux libres, c’est un antioxydant puissant.

Plusieurs études montrant les effets positifs du resvératrol ont été réalisées à l’aide du trans-resvératrol, l’un des deux isomères du resvératrol (avec le cis-revertarol).

La recherche suggère qu’il apporte de nombreux intérêts pour la santé. L’un des principaux mécanismes utilisés par le resvératrol pour aider les pratiquants de musculation est l’augmentation du nombre de mitochondries dans les cellules musculaires, ce qui permet de produire plus d’énergie pendant la séance d’entrainement.

Par ailleurs, sa fonction d’antioxydant peut contribuer à accélérer la récupération musculaire.

Une action moins connue du trans-resveratrol est son action sur l’inhibition de l’aromataze. Une enzyme dont la fonction principale est d’aromatiser les androgènes en produisant des œstrogènes. L’aromatase convertit ainsi une partie de la testostérone en œstradiol.  En inhibant en partie l’aromatase le trans-resveratrol va aussi contribuer à l’élévation du taux de testostérone.

Voilà pourquoi le booster hormonal TNT Male a associé l’acide D-aspartique au Trans-resveratrol. Bien entendu les améliorations sensibles qui sont constatées n’ont rien à voir avec l’utilisation exogène de testostérone. Cependant l’utilisation du TNT Male reste une alternative naturelle et sans danger permettant d’augmenter son taux d’hormones anabolisantes.

Liens externes :
http://ergo-log.com/dasparticacidtestosterone.html
http://www.rbej.com/content/7/1/120
http://www.ergo-log.com/resveratrolantioestrogen.html
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16611627

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