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L’apéro pour ruiner sa condition physique

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L’apéro (ou apéritif), c’est un terme génial. Il permet de justifier de picoler, manger des cacahuètes et autres cochonneries en ayant bonne conscience. Ainsi, abuser des apéros est une excellente chose pour se ruiner physiquement et donc mentalement. Certes, de temps en temps, boire un peu d’alcool, permet de passer un moment agréable et convivial, mais à partir de cinq fois par semaine, c’est une hygiène de vie mise à mal, et un alcoolisme qui pourrait bien monter en puissance.

Evidemment, il y a aussi les effets à long terme sur le foie, les maladies cardiovasculaires, les troubles mentaux… Et les dangers que les personnes ivres font courir aux autres quand elles prennent le volant ou déambulent sur les voies publiques.

Sachez aussi qu’il n’y a pas encore consensus scientifique sur les vertus protectrices du vin ( le fameux paradoxe français).

L’apéro ça fait grossir

L’alcool est une boisson très calorique. En effet il faut compter pour 1 gramme, 7 calories ! Cette boisson est obtenue par la fermentation de jus de fruits (donc du sucre !), de céréales ou par distillation de boissons fermentées.

Les boissons comprenant de l’alcool contribuent au stockage des aliments sucrés et gras. En effet l’alcool n’est pas un nutriment et n’est pas utilisé comme énergie par l’organisme. Et pourtant, comme dit précédemment, l’alcool compte 7 calories pour 1g ! Il va donc être principalement stocké sous forme de graisses (les fameux abdos Kronenbourg).

L’apéro pour avoir de « gros nichons » mais pour les hommes !

L’expression philosophique « boire des canons, ça fait pousser des nichons », est tout à fait justifiée.

En effet Messieurs, l’alcool a une incidence négative sur votre production de testostérone. Même si il ne s’agit que de quelques pourcentages de testostérone en moins, à partir de la quarantaine, ces légères baisses de production seront plus significatives. Par ailleurs, l’alcool contient aussi des phytœstrogènes, des substances issues des plantes similaires aux œstrogènes. La consommation de bière va aussi augmenter l’activité de l’aromatase, une enzyme qui convertit la testostérone en œstrogènes Alors messieurs, les manifestations de virilité sous l’effet de l’alcool sont-elles justifiée. Au fait, ces nénés ? ça pousse ?

A lire, ça peut aider : Troubles de l’érection, moi jamais !

Alcool et performance

L’alcool a aussi un impact négatif sur vos performances. En effet, l’alcool peut entraîner une insuffisance d’oxygène au niveau du foie. Cette insuffisance va interférer avec la production d’énergie pour le muscle, l’ATP.

La consommation excessive d’alcool va aussi entraver le métabolisme des glucides. Cet effet va inhiber la bonne circulation du glucose, et avoir un effet hypoglycémiant.

L’alcool peut entraîner aussi une déshydratation, ce qui nuit à la performance sportive.

Si pour vous l’appel de l’apéro est très important, alors éloignez-le au maximum de votre activité sportive.

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